Le commerce est un acte du mercantilisme qui concoure  au développement économique d’une société qui se veut être respectée. Mais les contemporains  de la colonisation  économique en ce siècle decident d’ intègrer la méthode du nouveau monde  et du triomphe de la monarchie sacrophile depuis l’arrivée du Covid 19 en Afrique, et plus particulièrement au Gabon selon notre analyse.

Il considère que  les princes, dont la puissance de contrôle repose sur les biens et sa collecte par l’impôt, doit s’appuyer sur la classe des marchands afin de favoriser l’essor économique et commercial de la nation pour qu’un excédent de plus value permette l’entrée d’une richesse collectivement repartie à la mesure d’apport de chacun selon son metier lié à l’exercice de celui-ci.

Cet approche devrait se généraliser et plaider en faveur d’une vision dynamique de la politique de l’économie nationale à chaque pays en Afrique.

Or les tenants du mercantilisme ne prônent pas ou du moins ne veulent pas rendre favorable le développement économique par l’enrichissement des nations au moyen d’un commerce international convenablement organisé en vue de dégager un excédent de l’équilibre commercial juste et au moins éqquitable au sein d’un commerce local.

D’où le résultat qui est obtenu par un investissement non raisonné et volontaire dans des activités économiques à rendement croissant, comme l’avait identifié l’économiste italien Antonio Serra dans sa compréhension du commerce’’ dès 1613, n’est que l’absolu déclinaison des attentes que nous avons présentement.

Pour ce fait, l’Etat se trouvant investi de la responsabilité de développer la richesse nationale, en adoptant des politiques pertinentes de nature défensive (prtections des commerçants locaux) et aussi offensive (favorisant l’exportation et l’industrialisation) d’une part, sans oublier l’intégration des autres biens venus de l’étranger d’une autre part ne trouvent point jouissance en la matière. Que faire ?

Aujourd’hui encore plus que hier, la discussion de la pertinence et de la validité des idées de commerce refont surface, notamment dans le débat contemporain par des commerciaux et des marketeurs dans le libre-échange, et le protectionisme.

Le terme venant du latin…on le sait ; « faire du commerce », issu de la racine merx, « marchandise ». Le marquis de Mirabeau est le premier à employer le terme en 1763 qui est popularisé à partir de 1776.

Le mercantilisme va se contribuer à la faire apparaître dans le débat public. Et cette doctrine prendra corps dans un contexte doublement favorable et porteur : d’une part, au lendemain des découvertes maritimes ; d’autre part, à l’époque de l’émergence des États-nations. Le mercantilisme se constituera progressivement en formalisant et en unifiant les « usages et bonnes pratiques de la vente et de l’achat pour tous les secteurs » de la théorie mercantile. Par la suite, les formulations deviendront plus élaborées et plus volontaristes, comme nous pouvons nous en rendre compte maintenant.

Si pour la balance commerciale importer des marchandises de l’étranger pour l’Afrique et particulièrement au Gabon est favorable pour des princes nantis, comment et pourquoi ne pas protéger le petit prince local à exercer dignement son acte.

Au protectionisme mercantiliste l’intérêt est de rentabiliser la production locale en favorisant l’essor des nationaux au sein de son économie. Les règles doivent être garanties par un pact de commerce national (PCN). C’est un manifeste qui comptabilise les actes de commerce, leurs définitions et qui sont en mésure de pratiquer dans la répartition communautaire nationale de façon à rendre son peuple prospère. C’est d’une certaine manière une repartition de la richesse nationale selon les secteurs d’occupation économique du peuple.

De ce point de vue, un code nationale de commerce doit être conceptionnalisé pour ne pas confondre les activités des expatriés à ceux des locaux et à disposition de sa représentativité. Car le commerce dans un Etat est d’abord l’apanage des nationaux, et puis ceux de la région du même espace économique en commun, en fin de ceux venant d’ailleur. Car si non comment compredre qu’il y ait en Afrique comme au Gabon des citoyens qui trouvent favorisés ceux expatriés, plutôt que les locaux ?

Selon Daniel Cohen, les récents échecs des négociations au sein de l’OMC sont révélateurs de ce que   mercantilisme éclairé doit faire point d’union avec des intermédiarités d’échange commerciaux et économiques. Si les négociations pour l’équilibre de son fonctionnemnt dynamique a pu aboutir, c’est grâce à des compromis, à des concessions réciproques et équitables que les instances nationaux, locaux et continantaux sur l’Afrique doivent arriver à établir pour le respect de vie des cityens et de la plus value nationale dans une redistribution des richesse des meilleurs arrangements.

Les pays riches acceptaient par exemple de libéraliser le secteur textile en échange d’avantages en matière de services financiers concédés par les pays en voie de développement Au contraire, lors du Sommet de Cancùn en 2003, les négociations entre pays riches et pauvres ont changé de nature. Les débats se sont focalisés sur la question agricole où les opportunités d’un échange mutuellement profitable ont paru inexistantes.

Cependant, dans une recherche d’équité et de protection locale ou nationale de commerce, l’importance de négocier est capitale afin de mettre chacun à sa place, nous emmenerait à éviter un commerce africain à la volonté brisée car c’est le lieu de penser qu’en commerce, mercantil ou autre… s’il en existe, il n’y a pas petits ni des grands. Il y a que la croissance pour tous.

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