Comment l’Afrique compte-t-elle s’adapter ? Analyse de l’observatoire du cabinet d’Intermédiarité et de Commercialité ORILIA LEGAL Consulting.
L’Afrique est un grand ensemble économique potentiel de 54 Etats repartie en cinq zones de partage ; les communautés d’Afrique de l’ouest, du Nord, du centre, de l’est et du Sud. Ces zones toutes qu’elles sont, souffrent d’ores et déjà des effets de la dévastation à effets de serre due aux causes générées par les pays industrialisés et développés en dehors comme en dedans du continent africain.
Pour permettre l’annulation CO2, il devrait se trouver plus rapidement une réaction de volonté managériale et politique de chaque Etat, qui devrait appeler un certain nombre de principes de non blagues car, tout passe par
la capacité à décider, à suivre l’application dans un processus d’agenda politique et de leadership.
En effet, ce projet CO2 Zéro mis en place, en Afrique devrait entrainer une prise de conscience sérieuse plutôt qu’une volonté de premier rang sans résultats véritables par ce qu’il faut agir très vite et maintenant. Tant plus que ceux sont des transitions qui mettront du temps et devront souffrir d’un chronogramme en misant sa jeunesses à tous les niveaux :
- Le Changement de pouvoir basé sur des consciences d’enjeu réel
Comment mettre en place un changement avec des systèmes politiques demi urges qui se croient savant en tout, alors qu’ils passent pour le principal retardataire du progrès social sur le continent. Il faut des néo-acteurs qui cadrent avec les moments liés à ces changements de temps économiques de l’heure. D’où le respect aux alternances politiques sur l’ensemble de l’Afrique.
- Le développement des économies propres aux grandes régions
Ces régions du continent devraient favoriser la production, et la transformation locale qui tiennent compte de la biodiversité en arrimage avec leurs cultures régionales de façon naturelle.
- L’adaptation à la nouvelle forme d’habitat
Segment essentiel des sociétés régionales qui permettraient de vivre au milieu de la nature tout en la modernisant sans la détruire. Mais en mettant tout en symbiose entre les humains, et les forêts ainsi que son écho système.
- L’exécution des programmes de renforcement
Cette lutte devra passer par le reboisement des espaces naturelles où se trouve l’avancée du désert, et la déforestation des milieux d’activité à exploitation forte vue que ce là est un pont pour la décarbonation.
- La recherche et création des énergies renouvelables
Enfin, bâtir sur le continent des réseaux électriques naturels issus des moyens hydrauliques, et solaires car vue qu’il y a des possibilités favorables de productions électriques pour toutes les économies.
En définitive, tout est d’abord une question de conscience et de sérieux qui voudrait que les acteurs décideurs des pouvoirs politiques élaborent des programmes à transition basé sur la voie démocratique sans laquelle même les entreprises ne pourraient pas se sentir motiver à soutenir la transformation et la transition sur le continent africain tout entier.