Une banque d’investissement est un établissement financier dont la principale activité consiste avec un fond à distribuer des services et des produits sophistiqués à des clients, à des personnes particulièrement fortunées ou pas, et à des entreprises. Dans le contexte gabonais, c’est ce à l’instant qu’il faut y penser. Car, pour une nation qui se veut forte économiquement doit disposer de son autonomie dans sa productivité et vouer à des sources sûres pour l’essor vers sa félicité.

Le Gabon faisant en effet, plus de 159 départements ce qui le résume à même nombre de marché favorable aux petites et moyennes entreprises et industries.

Elles sont au total plus de 800 entreprises nationales recensées à travers la fédération nationale des entrepreneurs gabonais (FNEG) qui ont besoin d’être accompagnées dans l’investissement au taux directeur plus que raisonnable. Dans un marché fédérateur entre eux, mais aussi ouvert dans l’ensemble du pays, ce qui est un potentiel client bancaire et qui gagnerait son compte. Quid pour répondre à cet appel parmi les banques ?

Au sujet des banques, les discutions ont besoin d’être menées en effet sur le taux d’intérêt à 2,3%, car au Gabon à cause du fort taux de 15 à 30% de remboursement. Ce qui est énorme, et passe pour un blocage à la promotion de l’entreprenariat gabonais. Pour un crédit que le gouvernement permet d’octroyer à 457317.07euro, l’attente demeure à long terme. D’où la raison de cet appel très voulue à la présence d’une banque entrepreneuriale d’investissement.  

La nécessité pour les membres de la FNEG à revendiquer aux autorités de la transition une banque spécialisée sur la vision des entrepreneurs vient témoigner de ce que certains comportements sont un problème au niveau de celles qui existent sans remplir le critère d’investissement qui se passent au sein de ces banques dites commerciales :

  • La lenteur dans le traitement
  • Le manque de confiance
  • La non fiabilité dans le processus de suivi de traitement de dossiers au sein de celles-ci
  • Le manque de communication et le non-respect à la clientèle
  • Le taux de remboursement trop élevé

Sont autant de maux qui leurs sont à toutes reprochés dans notre pays.  

De par leurs projets et les capacités à rentabiliser les investisseurs sur la base de ses marchés, elles (entreprises) ont toute envie de se faire accompagner par cet établissement plutôt que par des microfinances ou commerciales qui ne répondent pas aux critères, à l’exemple de la sodec et pas que…mais aussi celles réputées sur marché financier.

La haute importance de dynamiser et de rendre plus compétitive la nouvelle économie gabonaise nous montre bien qu’il est farouchement nécessaire d’accompagner la croissance et la nationalisation de nos PME-PMI dans l’objectivité de la citoyenneté au développement pour notre concorde à tous.

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