Il s’agit des sociétés historiquement implantées dans ce pays notamment dans les secteurs de l’industrie, des exploitations pétrolières et minières, du commerce, de la transformation, du transport qui en managent le processus idéal, en organisation ou en systèmes d’information et en celui de la stratégie à proprement parler.
Le Conseil Patronal gabonais en abrégé (CPG), chef des chefs des sociétés et entreprises. Celles-ci qui ont parfois une grande partie de leur activité dédiée à la stratégie de développement économique afin de sortir ou proposer des voies de ‘’moove out’’ qui débloqueraient la croissance nationale de son impasse.
Ce positionnement volontaire et commun des patrons de ces grandes entreprises réunies en leur assemblée générale, relativement récent, sous la présidence de Monsieur Henry Claude Oyima Administrateur Président du groupe BGFIBank, pourraient répondre à deux objectifs majeurs de diversification des activités ; aux besoins nationaux fixés par le désire gouvernemental de se voir épauler, et aux enjeux des marchés qui se déséquilibrent devant les influences internationales aux conséquences premières de la menace sanitaire à covid-19, et aujourd’hui celui du conflit russo-ukrainien.
De prime abord, des activités de besoins nationaux sont récencés dans l’acquisition des voies de communication ; de la capitale du pays vers l’intérieur des provinces. Ceci pour donner un rendu à la marge à travers les implications du conseil patronal gabonais, car ces entreprises comme tout le monde d’ailleurs a autant besoins d’une bonne circulation des personnes et des biens qui devrait leur faire profiter non à eux-mêmes, mais en premier aux services privés commerciaux et industriels.
A côté de la communication routière, Monsieur Oyima et ses paires pourraient trouver de la plus-value en investissant d’autre part dans les BTP ; avec les constructions des infrastructures qui manquent à l’Etat gabonais. Infrastructures qui font de ce dernier des sans bureaux pour plusieurs de ses fonctionnaires au pays ; et aussi pourraient permettre aux PME de disposer des lieux de travail à leurs comptes locatifs qui apporteraient des gains direct aux retours à investissement. Cette position gagnerait toutefois à s’élargir positivement dans le logement pour tous, car si l’Etat ne peut plus agir dans ce domaine à cause non seulement de sa lourdeur administrative, et surtout pour des raisons de longues procédures administratives et luttes politiques intestines qui gangrènent son environnement.
La CPG l’aura compris qu’il faut de l’audace, de la dynamique et de la détermination pour sortir son pays de son blocus économique intérieur. De la sorte que l’économie nationale devenue boostée par les entreprises privées, c’est la marge celles-ci qui pousse la croissance pour tous de l’avant.
Aux investissements du conseil patronal gabonais (CPG), c’est tout le monde qui y gagnerait à condition que les règles soient respectées. Pour tenir ce point d’analyse, dans la formation et l’éducation ; ce serait une assurance en réserve dans l’équipement des savoirs à l’intérêt du capital humain gabonais car ce pays manque criardement des universités et des écoles professionnelles adaptées aux besoins philosophiques des entreprises gabonaises en ce 21e siècle. Ce que par exemple Monsieur Oyima aurait compris avec la mise en place de BGFI Business School. Son impulsion, aiderait dans cette idée à certaines grandes entreprises de développer pourquoi pas des établissements supérieurs à l’intérieur du pays pour les besoins de la vision du conseil patronal du Gabon.
Ainsi, c’est un désir d’accéder plus directement à la croissance générale des grands groupes, la CPG devrait manager la mobilité d’un porte feuil sérieux et très conséquent. Car, c’est une lancée à environ 600 millions d’euro, soit 393 milliards 600 millions de francs CFA à trouver afin de rendre réaliste ce plan. Ce qui pourrait ne pas être impossible pour ces patrons gabonais. En vérité comme on dit en Afrique : «Un éléphant abattu par le chasseur, est transporté par tout un village.» Plus besoin de se porter à l’hésitation, c’est ce qu’il faudra faire. Qui de mieux pour le faire d’ailleurs ?