La critique sociale aujourd’hui apparaît avec un pro-capitalisme à la question sociale en ce 21 siècle, dès la phase de la révolution du travail avec la main des patrons véreux de la richesse à tout prix. Voici qu’elle se développe également autour de deux sujets principaux :

·         Le pro-capitalisme qui est une source de misère pour les travailleurs gabonais et se trouve être la cause des maux de nombreuses inégalités et injustices professionnelles.

·         Le pro-capitalisme qui est la consécration de l’opportunisme et de l’égoïsme malveillant dans la nation. S’il n’en est pas la source, ainsi contribue-t-il à détruire la solidarité et la sécurité sociales ?

Nous aussi étant préoccupés par la situation qui plonge le Gabon dans l’avenir des retraites nous entraîne à imaginer ce que peut être l’hécatombe si maîtrise ne s’y trouve pas car comme Rabelais aimait à dire dans sa réflexion ; ‘’science sans conscience n’est que ruine de l’âme’’.

Ceci pour souligner le point numéro un qui dessine le système de misère pour les travailleurs d’un pays. Pour notre magazine lecommercial24.com percevons que cette réflexion peut nous pousser à la traduire comme étant ‘’la gestion sans notions cause la mort d’un Etat’’

En effet, si la Collapsologie sociale au Gabon n’est pas déjà ce qui reste à annoncer de façon impensable, on comprendra qu’il y a une raison dirigeante à refuser la vérité face à la réalité du présent.

La sécurité sociale au Gabon a été pendant plusieurs décennies au sud du Sahara l’exemple inspiré de nombreux pays africains, comme il en est encore aujourd’hui la bonne inspiration en ce qui concerne la garantie sociale (CNAMGS) qui à son tour, l’apprend-t-on subit les effets que sa commère.

La Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS), une entreprise ou organisation privée en charge de la gestion d’un service national public, disposant de près de 1976 employés passe pour une boite d’accession nominative sous l’autorité de l’Etat, où seulement apprend-t-on à l’émission télévisée sur la chaîne nationale gabonaise expliquant en 50 minutes et plus le tout nouveau Directeur Général nommé il y a quelques mois, la situation actuelle de cette entreprise. Il fait une peinture aux colorations de regrets amers, si non plus qu’acide en huit astérix ;

·         Le déficit de 28 milliards laissés par les prédécesseurs aux postes de directoire ;

·         Les découverts sur tous les comptes bancaires qui expliquent des prises d’argent au-delà des montants qui devraient être retirés ;

·         Des dettes fournisseurs de 10 milliards dont les fausse factures et sur factures d’un montant d’environ 6 milliards ;

·         55 milliards de crédits spot laissés par les anciens gestionnaires de l’institution ;

·         5000 retraités en attente depuis plus de 5 ans aux paiements de leurs retraites pour une somme de 19 milliards ;

·         Une masse salariale explosive qui représente 41% ;

·         Un déficit de la branche des pensions existant depuis 2005 ;

·         Des comptes maquillés à souhaits par les cabinets d’audit afin de présenter une belle image fonctionnelle de l’organisation cependant déficitaire de 28 milliards de Franc CFA ;

Monsieur Patrick OSSI OKORI Directeur Général de l’actuelle CNSS montre qu’il hérite d’un chapelet de grains lourds de tonnes de sable, car devant désormais gérer 85 milliards d’impayés à trouver, dû de l’Etat gabonais, des nombreuses entreprises de l’industrie et du commerce notamment dans la grande distribution, les sociétés d’Etat, la task force, les cessions d’hôpitaux et cotisations courantes…

Il est clair de comprendre ici qu’il y a des gros soucis d’éthique et de respect juridique de management organisationnel afin de laisser place à l’égoïsme et à la volonté de coloniser la sécurité du travail au Gabon.

La facilité avec laquelle s’explique Monsieur OSSI OKORI montre bien le manque d’amour que les gestionnaires qui l’ont précédé ont exprimé contre la mère patrie. Ce qui se présente n’est jamais vu ailleurs que dans ce beau pays qui sait briller que par des mauvais exemples comme qui se dit. Il est d’avantage temps de tout laisser pour se tourner vers une convention nationale sur la gestion organisationnelle et fonctionnelle du patrimoine de la notoriété du pays. Est-ce que tout le monde ne serait pas responsable dans cette affaire ? Ceci appelle une profonde réponse lorsqu’on sait qui est nommé pour exécuter quoi faire.

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