La commercialité du 7e art, en particulier celui du cinéma. Sous la question de sa haute importance : comment rentabiliser le cinéma gabonais ?

C’est donc en dates du 12 et du 13 juin de cette année 2023 que se sont tenue ‘’Le Grenelle’’ du cinéma gabonais. Dans la salle principale des spectacles, retenue pour la circonstance, à cette rencontre du genre ‘’brain storming’’, à l’institut français Saint-Exupéry de Libreville que les expères, et les acteurs du cinéma se sont retrouvés.

Sous le contrôle du ministre gabonais de la communication, Monsieur Rodrigue Mboumba bissawou, qui au cours de son allocution a prononcé les mots d’ouverture de ses travaux de réflexions, après être présenté par monsieur le maître de cérémonie.

Au programme des travaux, six panels ont concentré la recherche des solutions aux points qui ont affecté le cinéma. Bien sûr ! Les rôles et missions de l’autorité en charge du cinéma gabonais qui a dû trouver un repère stable pour la vision de celle-ci, en vue de bien atteindre sa cible d’objectivité nationale.  Car, il serait tout à fait bien évident qu’elle sache pourquoi veut-elle produire des films (en d’autres termes ‘’faire du cinéma’’).

En plus, le soutien public à la production qui est passé pour une expérience étrangère, et dont  l’implication locale devrait être une notion module à initier, afin de trouver par son travers une issue positive à l’idéal du cinéma.

 Alors que le troisième panel, lui a présenté l’idée d’un partenariat structurant, qui puisse mettre en interaction les diffuseurs des sociétés de production et acteurs institutionnels. Ce qui a jusqu’à ce jour  été un rapport de confusion de missions, surtout quand le fruit de la commercialité lié au produit fait du bruit.

Pour lecommercial24, un réel intérêt s’est porté sur les panels quatre et cinq qui a donné beaucoup de traits d’analyse à notre rédaction au côté de notre consultant en commercialité, et intermédiarité économique Monsieur Arsène Gildas Mouanda. A savoir ; comment le cinéma gabonais par la fiscalité et son attractivité peut créer une chaine de valeur surtout pour les productions de l’étranger ?

Notre consultant y a répondu : « Pour vendre du cinéma, c’est comme pouvoir faire un livre afin de le mettre sur le marché. Un bon livre ! Il faut avoir des ressources en idées, et en outils matériels et temporels. Car c’est savoir tout mettre en composition, telle dans une musique. Tout commence avec l’évaluation de ses moyens notés en numériques et en valeurs monétaires, intégrés dans un tableau de bord. Qu’il s’agisse des objets ou des personnes, tout devrait être listé, marqué puis évalué dans le temps et l’espace du lieu indiqué pour l’objectif. C’est de là que part le coût de la production de la cinématographie. En effet, rien ne pourrait se faire valoir sans… »

Et donc… « Le coût de la production peut alors déterminer le budget initial, même si des apports extérieurs, venus des partenaires viennent à y intervenir. Cela recommande une rigueur dans la gestion comptable, et une exigence dans la qualité des outils que l’on doit employer pour la production. Ce coût répertorié ensuite, doit être dans une base de données afin de servir d’appuis sur les futures autres productions. Il est considéré comme un prix à l’usine, auquel on y ajoute seulement les taux de changement de prix, lors des nouvelles données, des taxes imposées par le fisc national, et autre charges liées à cette production. Il est donc très important car, c’est en fonction de celui-ci que l’on détermine le droit d’entrée en salle de cinéma, et que l’on calcul la rentabilité de cette production si les partenaires de diffusion télé viennent à acheter celle-ci au 2/5 de cette production afin qu’elle soit regardée par la nation tout entière.»

C’est donc pourquoi une production ne peut pas se faire sans maîtrise de son budget de tournage… ? « Tout à fait !… » Nous a ainsi répondu le consultant… « Et, après à la rentabilité de jouer sur les appuis des stratégies marketing qui est un principe qui répond à l’exigence de la qualité du contenu basée sur l’histoire, la qualité des acteurs et sans négligence du décor employé au même titre que l’équipement dans la rédaction du scénario, des effets spéciaux, etc… C’est là, la règle du savoir-faire, et de l’expérience dans le 7e art. »

Le Grenelle du cinéma gabonais doit avoir beaucoup à gagner dans un premier abord d’importance qui est à rechercher le service national d’un apport économico-commercial, plutôt que d’identification lumineuse dans la notion d’une simple existence nationale.

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