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La FinTech, c’est ainsi que ça se combine les termes « finance » et « technologie » : elle désigne une intelligence innovante qui utilise la technologie qui repense les services financiers et bancaires.

Face à la crise économique de 2008, de nombreux banquiers et traders avait-on observé dans le monde, avaient quitté les grands centres financiers de la planète et se s’étaient lancés dans des aventures entrepreneuriales pour repenser le modèle de la finance grâce à l’innovation technologique qui a fait naître aujourd’hui le genre ‘’start-up’’.

Ceci pour la finance plus simple et plus accessible, en proposant des services de meilleure qualité et moins coûteux. En douze ans, le secteur bancaire a ainsi connu plus de changements que pendant les temps analogiques.

Les FinTech se développent en effet dans tous les domaines, de la gestion d’épargne au prêt pour les particuliers, en passant par le financement des entreprises ou le paiement en ligne.

Ses innovations permettent dans le secteur financier comme dans le secteur industriel d’améliorer la productivité ou la sécurité des opérations. Les technologies financières, la fintech, par contraction visent à rendre le monde financier plus sûr et plus accessible à en écouter les spécialistes.

On qualifie par extension de fintech les sociétés qui œuvrent dans ce domaine de finances, de banques ou des affaires. Les fintech sont généralement de start-up qui maîtrisent bien les technologies de l’information et de la communication, et qui tentent de capter les parts de marché des grosses entreprises en place, qui sont souvent peues imaginatives et créatives ou en retards dans l’adoption des nouvelles technologies.

Les fintech regroupent l’ensemble des entreprises utilisant des modèles opérationnels, technologiques ou économiques innovants et disruptifs, visant à traiter des problématiques existantes ou émergentes de l’industrie des services financiers.

Les sociétés fintech proposent des offres tout au long de la chaîne de création de valeur déjà existante des banques. En conséquence, les fintechs peuvent être classées en fonction de l’offre principale des banques :

1. compte et paiement  tel que le paytech, la cryptomonnaie, la gestion des finances personnalisées.

2. investissement comme dans le robo advisory, l’épargne, trading social, pension fintech

3. financement sous la forme crédit, crowdfunding, affacturage.

4. les services et outils tels que les plateformes de comparaison, l’identification, la blockchain, l’intelligence artificielle.

5. assurance , à l’exemple de ‘’insurtech’’

6. les offres autour de l’immobilier

En somme pour retenir, la technologie financière a été utilisée pour automatiser les activités d’assurance, de trading et de gestion des risques. Les services pourraient provenir d’une collaboration entre divers fournisseurs de services indépendants dont l’un, au moins, doit être une banque ou un assureur agréé. Cette interconnexion est rendue possible grâce à l’émergence des Applications Pratiques d’Informatiques en abrégées APIs ouvertes. Et à l’ouverture du système bancaire (open banking), elle s’appuie sur des réglementations à l’exemple de la Directive sur les services de paiement européen sur les marchés de capitaux, des plateformes de trading électroniques innovantes qui facilitent les transactions en ligne et en temps réel. Ce qui passe pour un nouveau metier à la conquête de la jeunesse africaine.

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