D’après le cabinet  ORILIA LEGAL Management dont le concept de commercialité et d’intermédiarité économique observe que les ménages gabonais restent encore confrontés depuis plusieurs mois à une hausse des prix des produits alimentaires.

En effet, ces causes de la montée des prix des produits alimentaires sont  soutenues par  des facteurs de base des productions qui sont influencés à leurs tours par les prix des matières premières,  le coût des frêts dans le maritime ainsi que l’aérien, et par l’augmentation de l’assiette fiscale nationale.

 Cependant les directions générales de l’économie, des statistiques, encore moins de la consommation et de la concurrence, pourtant voies officielles en la matière, ne se sont risquées à donner des réponses des règlements à soulager les ménages.

Faute des mesures efficaces, le gouvernement s’attellerait, dit-on, à comprendre les causes de cette flambée. La réalité est là, le pouvoir d’achat des gabonais se réduit de jour en jours comme dans la peau de chagrin. Les ménages gabonais vivent des jours inconfortables. Leur pouvoir d’achat est mis à rude épreuve.

Voici que comme en juillet  2012, la farine de pain vient connaitre une autre hausse de prix de presque 19% par rapport à son coût initial. L’huile, le riz et autres conserves jusqu’au produits domestiques rien ne va. Une situation qui pourrait durer tout le long de l’année 2022.

Le transport quant à lui, à cause de la pandémie n’a pas cessé de rendre difficile les revenus  gabonais. Alors que le pays exporte à 90% toute l’économie de sa consommation.

Si parlant plus que de récession, vue le taux de chômage fort pressant chez nombreux gabonais, ce n’est pas côté travailleurs qui s’en sort avec les bas salaires qu’offrent les entreprises privées et partenaires de l’Etat afin d’apporter une solution convenable à la vie sociale et économique.  De notre point de vue pour y remédier, il faut un principe d’équilibre entre l’assiette fiscale à baisser et passer à l’augmentation des salaires durant le temps que prendra l’inflation à l’international.

Outre le fait que cette flambée des prix fait baisser le pouvoir d’achat des gabonais, elle aura tendance à provoquer un effet  très dur. Tous les secteurs étant obligés, par mauvaise habitude ou par opportunisme, de suivre la courbe de l’inflation.

C’est le cas du logement qui grimpe très vite dès que ça ne va pas, de même que le vêtement dans la friperie zone prisée des plus pauvres.

A Libreville la capitale, manger dans un maquis devient une épreuve quant-elle n’est pas tout simplement un fait  humiliant pour les petites bourses, vu que les restaurateurs ont décidé de diminuer la quantité des plats.

Bien que le phénomène ne soit pas aujourd’hui,  il prend ces derniers jours sur une tournure qui frise une escroquerie de bas étage.

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